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Regards

Keywords

revolutionary cinema, Palestine, Tel al-Zaatar, Italian Communist Party, Unitelefilm, cultural transfers, transnational history, archival images, cultural activism

Document Type

Article

Abstract

The film Tall El Zaatar (1977, Abu Ali, Pino, Chamoun, Palestine/Italy), a co-production between the Palestinian Cinema Institute and the Italian Communist Party’s (PCI) audiovisual company, was considered lost for three decades and finally rediscovered in 2011.
Beyond the dramatic stories surrounding this film, Tall El Zaatar reveals the importance of considering the transnational dimension of Palestinian militant cinema.
In this article about Tall El Zaatar, I approach the history of Palestinian revolutionary cinema through the traces left within the archives of an institution with which the Palestinian filmmakers collaborated.
On the basis of a set of interviews and documents consulted in the Audiovisual Archives of the Labour and Democratic Movement (AAMOD) in Rome, I show what the historian can learn from the archival fragments resulting from the exchanges of Palestinian filmmakers with European institutions in general, and Italian ones in particular.

Résumé

Le film Tall El Zaatar (1977, Abu Ali, Pino, Chamoun, Palestine/Italie), une coproduction entre l’Institut du cinéma palestinien et la société audiovisuelle du Parti communiste italien (PCI), a été considéré comme perdu pendant trois décennies et redécouvert en 2011.
Au-delà des récits spectaculaires qui entourent ce film, Tall El Zaatar révèle surtout l’importance de considérer la dimension transnationale du cinéma militant palestinien.
Dans cet article sur le film Tall El Zaatar, j’aborderai l’histoire du cinéma révolutionnaire palestinien à travers les traces laissées au sein des archives d’une institution avec laquelle les cinéastes palestiniens ont collaboré.
Sur la base d’un ensemble d’entretiens et de documents consultés dans les Archives audiovisuelles du Mouvement ouvrier et démocratique (AAMOD) à Rome, je montrerai ce que l’historien peut apprendre des fragments d’archives résultant des échanges des cinéastes palestiniens avec des institutions européennes en général, et italiennes en particulier.

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